mariposa monarca

jueves, 18 de agosto de 2011

Lessons learned about happiness:
1. The only way to be happy is to make other people happy.
2. The only justification for government action is that everybody will be happy.

Watch the video:
http://www.thersa.org/events/video/vision-videos/richard-layard

domingo, 14 de agosto de 2011

Mon mot préféré en français est « le bonheur ».
Le bonheur est un état d’âme que tout le monde aspire et que beaucoup de monde espère. J’aime ce mot pour le paradoxe qu’il représente. Car, dans les moments de bonheur, l’heure passe à l’arrière-plan de l’existence. Cette idée est exprimée avec le proverbe « l’heure ne sonne pas pour les gens heureux ». Curieusement, le mot « heureux » vient du mot « l’heure ». Dans un moment de bonheur, on pourrait aussi dire «â la bonne heure », le temps s’arrière-plan de l’existence. Mais ahttp://www.blogger.com/img/blank.gifttention! Le moment où je réalise que je me trouve en dehors du temps, je replonge là-dedans.
J.W. Goethe a écrit des vers très puissants pour exprimer cette métaphore qui compare le temps avec une rivière, un mouvement unidirectionnel. Le titre «Mächtiges Überraschen» est un jeu de mots et pourrait être traduit de deux manières – « grande surprise » ou bien « rapidité extrême ».

Ein Strom entrauscht umwölktem Felsensaale,
Dem Ozean sich eilig zu verbinden;
Was auch sich spiegeln mag von Grund zu Gründen,
Er wandelt unaufhaltsam fort zu Tale.

Dämonisch aber stürzt mit einem Male -
Ihr folgen Berg und Wald in Wirbelwinden -
Sich Oreas, Behagen dort zu finden,
Und hemmt den Lauf, begrenzt die weite Schale.

Die Welle sprüht, und staunt zurück und weichet,
Und schwillt bergan, sich immer selbst zu trinken;
Gehemmt ist nun zum Vater hin das Streben.

Sie schwankt und ruht, zum See zurückgedeichet;
Gestirne, spiegelnd sich, beschau'n das Blinken
Des Wellenschlags am Fels, ein neues Leben.
„Mächtiges Überraschen“, J.W. Goethe (1807)

Donc, le bonheur existe dans une dimension où l’heure ne compte pas. Le bonheur est l’expérience d’être connecté, en accord avec l’univers.

Mon mot préféré en français est « le bonheur ».

Le bonheur est un état d’âme que tout le monde aspire et que beaucoup de monde espère. J’aime ce mot pour le paradoxe qu’il représente. Car, dans les moments de bonheur, l’heure passe à l’arrière-plan de l’existence. Cette idée est exprimée avec le proverbe « l’heure ne sonne pas pour les gens heureux ». Curieusement, le mot « heureux » vient du mot « l’heure ». Dans un moment de bonheur, on pourrait aussi dire «â la bonne heure », le temps s’arrière-plan de l’existence. Mais attention! Le moment où je réalise que je me trouve en dehors du temps, je replonge là-dedans.

J.W. Goethe a écrit des vers très puissants pour exprimer cette métaphore qui compare le temps avec une rivière, un mouvement unidirectionnel. Le titre « Mächtiges Überraschen» est un jeu de mots et pourrait être traduit de deux manières – « grande surprise » ou bien « rapidité extrême ».

Ein Strom entrauscht umwölktem Felsensaale,
Dem Ozean sich eilig zu verbinden;
Was auch sich spiegeln mag von Grund zu Gründen,
Er wandelt unaufhaltsam fort zu Tale.

Dämonisch aber stürzt mit einem Male -
Ihr folgen Berg und Wald in Wirbelwinden -
Sich Oreas, Behagen dort zu finden,
Und hemmt den Lauf, begrenzt die weite Schale.

Die Welle sprüht, und staunt zurück und weichet,
Und schwillt bergan, sich immer selbst zu trinken;
Gehemmt ist nun zum Vater hin das Streben.

Sie schwankt und ruht, zum See zurückgedeichet;
Gestirne, spiegelnd sich, beschau'n das Blinken
Des Wellenschlags am Fels, ein neues Leben.

„Mächtiges Überraschen“, J.W. Goethe (1807)

Donc, le bonheur existe dans une dimension où l’heure ne compte pas. Le bonheur est l’expérience d’être connecté, en accord avec l’univers.

domingo, 7 de agosto de 2011

"Lo que dicen los muertos:
Edúcate a ti mismo para la paz si no quieres que otros vengan a educarte para la guerra."

José Saramago, 2006

Mi palabra preferida en español

es “agua”. Cuando aprendí su significado y cómo se usa en una oración, me sorprendió el hecho que decimos “el agua”, aunque su género es femenino. “El agua”, entonces, es una palabra que anda disfrazada por el mundo, que está jugando con apariencias. En una biblioteca encontré un libro de gramática donde me enteré del pro qué de esta regla. Con el artículo masculino adelante su sonido fluye de manera aún más suave, como si fuera tan líquido como el elemento agua. Me gusta también la idea que las letras de la palabra contengan muchos huecos. Si formáramos un molde con estas letras A, G, U y A, y si lo pusiéramos este molde en el jardín durante la lluvia, podríamos recoger mucha agua. Este elemento es esencial para la existencia de la vida, en nuestro planeta y en cualquier otro. Y nosotros mismos, de decir: nuestro cuerpo, está hecho de gran parte de agua (unos 70%). Me encanta tomarla, me encanta escucharla – como lluvia, como cascada, como olas del mar, me encanta decir la palabra --- a g u a.